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directeur de la publication:

madame l’inspectrice de la  circonscription de Coubron, Montfermeil, Vaujours

secrétaire de rédaction:

Yann Bloyet

mise à jour 

juillet   2009

Le preneur de son:

Le preneur de son tient une perche qui est au-dessus des acteurs, au bout de la perche il y a un micro. Il doit faire attention à ne pas montrer la perche.

Le micro cravate est tout petit, le preneur de son le place sur les vêtements.

Le cadreur:


Le cadreur est quelqu’un qui tient la caméra. C’est un des plus importants métiers du cinéma. Il faut de la concentration.

Le clapiste:

Les acteurs:

Le réalisateur:

Les métiers du cinéma

Ce qu’il faut éviter lors du tournage:


  1. *le comédien touche son micro cravate

  2. *les techniciens parlent pendant que la caméra tourne

  3. *bousculer la caméra

  4. *la perche entre dans le cadre

  5. *regarder la caméra (sauf si on le dit)

  6. *surjouer, ça veut dire qu’au lieu de jouer comme dans la vraie vie, on en fait beaucoup plus

  7. *couper la parole

  8. *se tromper de costume ou d’accessoire

  9. *oublier un accessoire

  10. *un acteur se met devant un autre et le cache

  11. *les fous rire

  12. *sortir du cadre


Le tournage du film:

Avant de tourner le film, le maître nous a demandé en devoir de chercher des endroits avec des murs blancs ou gris, des objets rouges pour les décors du film.

Nous voulions que les décors soient comme nous le voulions. Nous avons cherché beaucoup de choses avant de tourner noter film.

Nous avons choisi le manteau rouge pour Pauline parce que c’est une personne joyeuse.


Au début Naser est seul, il est triste, alors il a un manteau noir. En arrivant à Vaujours il commence à avoir de la couleur. Pendant l’anniversaire, Pauline lui offre  un blouson rouge parce qu’il est joyeux et la couleur vient à Naser.


On a choisi la couleur rouge, car elle apporte la joie. C’est la couleur de Pauline car elle est joyeuse.


La couleur rouge apparaît petit à petit, avec des ballons, une grue, une pancarte, un échafaudage, des bonbons et des objets pendant l’anniversaire.

Samedi nous sommes allés à Cora pour tourner le film. Thomas a demandé une autorisation.

Ce jour là, le mercredi 3 juin, nous étions à la Cinémathèque française.

Nous avons regardé les films de quatre pays :

Portugal, Italie, Espagne et France.

Nous sommes venus  à la Cinémathèque en RER et métro.

Sur la photo, on me voit accrocher des ballons, or ce n’est pas moi qui les accrochait, c’était d’autres personnes.


On a rejoué la scène plusieurs fois parce qu’il y avait des détails et aussi parce que je ne le faisais pas bien.

On voyait aussi des ballons entrer dans le cadre, alors on recommençait. On n’arrêtait pas de recommencer. On en a tourné une autre et on a réussi.

Nous étions en train de nous préparer pour le tournage du film. On choisissait les métiers. On branchait tous les câbles.

Les acteurs se mettaient à leurs places.

Les acteurs étaient sur la rue d’en face. Il y avait la perche qui était ici pour l’ambiance sonore et le micro-cravatte pour les acteurs.


Le micro-cravatte est sur l’acteur. Sur la photo nous étions en plein tournage.

On a tourné deux scènes. Le problème c’est qu’on a raté, et on a été obligé de recommencer. Après on a réussi les deux scènes mais c’est dommage, on a dû enlever ces scènes parce que le film était trop long. Il fallait 9 minutes.

C’est lui qui commence le début de la prise. Il dit qui est réalisateur, le titre de la scène en montrant un petit tableau au début du film.

Ils doivent jouer la comédie sans regarder la caméra.

Il trouve le thème de l’histoire, il dit aux acteurs ce qu’ils doivent faire et où se placer.

A la fin du tournage, il s’occupe du montage sur un ordinateur.

On avait deux gros sacs remplis de ballon, pour que Naser et Pauline prennent des ballons pour aller dans l’appartement.

Une fois, un ballon s’est envolé, d’autres ont éclaté, à la fin du film il y en a moins.




Dans la rue le tournage était difficile.

Le maître était au milieu de la route, et à chaque fois que la prise n’était pas bonne, on retournait de l’autre côté pour recommencer.