Un
remplaçant bizarre
Un
remplaçant bizarre
Bonjour
je míappelle Claude, je suis chez monsieur Martin dans la classe de CE2
M. Ce matin il y a quelque chose de bizarre.
"
Le maître níest pas là " constate Alban.
Aujourdíhui
nous avons kin-ball mais si le maître níest pas là, nous ne
jouerons pas parce quíil devait aller chercher le ballon.
La
cloche sonne, nous nous rangeons sans bruit, nous sommes tristes.
Soudain,
nous sursautons, un homme dit avec une voix grave et méchante:
"
Votre maître est malade, je vais le remplacer pendant son absence,
il a une grippe. "
Líinstituteur
a un carton, la directrice remarque : " Vous êtes bien chargé
! " Le maître lui dit bonjour et fait comme síil nía pas entendu.
Nous
entrons en classe puis nous nous installons, nous líobservons tous. Il
a de la barbe, il est grognon. Il commence à déballer son
carton, nous nous demandons tous quíest-ce quíil y a dedans. Nous sommes
surpris de voir quíun maître a un carton, normalement il arrive avec
un cartable. Nous voyons une chose blanche, cíest un matelas avec des draps
et une couverture. Mais un maître níapporte pas de matelas , dis-je
dans ma tête, cíest bizarre. Puis il nous donne des exercices pendant
quíil met les draps.
Il
baille quand il écrit au tableau, il fait des fautes quand il corrige.
Il dort au fond de la classe pendant que nous travaillons, cíest pour ça
quíil a apporté un matelas.
Il
ne nous a même pas dit " bonjour les enfants. " Pour cette
première journée, il nous a donné de la grammaire,
du calcul mental, un livre à lire, des divisions que nous ne savons
pas faire, des exercices de maths de la page 50 à la page 60, des
opérations et même une leçon à copier.
J
ëen ai assez, je ne sens même plus ma main à force díécrire.
Lui le maître, il a de la chance, il a le droit de dormir, si je
faisais ça il me punirait.
Enfin!
la cloche sonne, nous sortons sans un bruit, le remplaçant dort
toujours.
Nous
discutons dans la cour.
-
" Il faut en parler à la directrice " propose Stéphanie
-
Mais non, elle ne nous croira pas, dit Alban.
Peu
après nous sommes rentrés. Il nous donne un exercice de français
et des multiplications. Jíai 7 à tous les exercices.
Quand
le cahier rouge passe, dix-huit élèves mangent à
la cantine et trois élèves mangent à la maison. Nous
sommes vingt et un en classe.
Dans
líécole nous sommes vingt classes mais nous níallons pas tous en
même temps dans la cour sinon nous serions trop, alors les classes
sont numérotées, moi cíest le numéro huit.
Le
chat malheureux
Ce
midi à líécole un chat níarrête pas de nous suivre,
il est blanc, il miaule. Alban le caresse et il ronronne. La cloche sonne,
Alban prend le chat dans son sac et líemmène en cachette en classe.
Dans la salle de classe le maître donne des exercices difficiles
de la page 80 à la page 100 et le pire cíest quíil níarrête
pas!
Il
gronde deux élèves puis trois.
Sans
le faire exprès, je donne un coup de pied dans le cartable, le chat
miaule, miiiiaou....
Le
maître se tourne vers nous et dit:
-Qui
fait líimbécile?
Personne
ne lève la main.
-Miiiiaaou...
-
Qui refait le guignol? crie le maître.
-
Miiiiaaaou...
Líinstituteur
síapproche du cartable díAlban et en sort le chat. Le remplaçant
prend le chat par la queue, fronce les sourcils tellement fort que le minou
perd des poils, il jette le chat par la fenêtre et tire líoreille
díAlban, Marie dit à Paul " Je suis sûre que ce maître
ne connaît pas les droits de líenfant ". Il lui donne 500 lignes
à écrire: " Je ne dois pas emmener un chat à líécole.
"
Vingt
paires díyeux se tournent vers Alban.
La
cloche sonne, un par un les élèves sortent. Alban sort le
dernier. " Il est puni. " dit Laurine. Il síasseoit sur le banc puis regarde
la cour.
Le
chat est là, remarque Alban. Il voit que le chat a faim alors il
lui donne son goûter. Le chat se couche sur les genoux díAlban, il
semble dire quelque chose.
Tout
à coup la cloche sonne et re-sonne. On nía pas envie de rentrer.
Alban pose son manteau au portemanteau.
Nous
sommes rentrés en classe, le maître dort déjà,
on entend ses ronflements, des bruits de chaises, une règle qui
tombe par terre, Romain qui fait tout le temps du bruit avec sa bouche
et puis il se met à chanter. Victor lance des avions à Juliette,
malheureusement Mathieu attrape líavion et le déchire en morceaux
CRAC.
On
rigole. Le maître se réveille et punit quatre élèves,
cíest bien il y a quatre côtés dans la classe, chacun dans
un coin. Ce qui níest pas drôle cíest quíil a tapé Guillaume,
vraiment je ne comprends rien à ce maître. Sur le tableau
il écrit plein díexercices mais après il dit quíil a trop
de cahiers à corriger. En plus il ne sait pas se servir díune craie,
quand il écrit ça grince:
"
SSSCCCCHHHHHRRRRIIIIIIQQQQQ ".
Laurène
et Julien ils sont inséparables.
"
Cíest normal, ils sont amoureux" dit Pauline.
En
classe nous travaillons sans faire de bruit. Le maître se réveille,
il baille comme ça: " OOOUUUUAAAAAAHHHH "
Tout
le monde sursaute. Mélanie a peur du dormeur, elle tremble et fait
tomber son stylo.
Le
maître demande à Alban:
-
Combien font 3 et 3?
-
Match nul! répond Alban.
-
Imbécile, dit le maître, ça fait 11.
-
Mais non maître, dit Laurène.
-
Tu es punie, tout le monde sait bien que cíest 11, répond le remplaçant.
La
cloche sonne, je sors et je joue à chat et le minou vient à
mon pied. Je lui dis bonjour.
Dans
la cour le maître est sorti, il est tout décoiffé et
même la directrice se demande ce quíil a.
Marie
dit à Paul:
-
Jíai vu un Ivoirien.
-Je
suis sûr quíil ne tías pas vue!
-Pourquoi?
-Parce
quíil y voit rien!!!
La
découverte mystérieuse
Aujourdíhui
jíarrive à líécole avec mes moufles en laine, un bonnet rigolo
et bien chaud que ma mamie mía tricoté, un manteau en polaire, une
écharpe.
En
attendant que la cloche sonne, je construis un bonhomme de neige avec Stéphanie
et Benjamin.
Je
vais chercher de la neige sur un buisson. Et soudain quel mystère,
une clé de taille normale mais une clef avec une gravure impossible
à lire. Je la montre à mes copains.
Nous
entrons en classe. Le maître nous demande de conjuguer les verbes
avoir, être, danser, chanter, nager au passé simple, nous
trouvons cela étrange parce que nous níavons pas appris le passé
simple. Dans le livre de maths, il nous demande de lire de la page 109
à la page 299. Et on doit faire les exercices 8 sur le cahier de
français. Il est vraiment très sévère. Mais
bon, jíaimerais bien aller dehors pour jouer avec la neige. Jíessaie de
ne pas y penser parce que sinon jíhurlerais en classe, je réveillerais
le remplaçant, en plus je me ferais sûrement gronder.
Alban
essaie de lire la gravure sur la clef, pendant que le ronfleur dort, toute
la classe le regarde.
Romain
crie " OUAOU! elle est super! ""
Le
maître se réveille:
-
Qui a crié?
Alban
met vite fait la clef dans son cartable avant que le maître ait les
yeux grand ouverts.
Pendant
ce temps tout le monde reprend son travail, peu après Alban fait
de même. Le maître nía rien remarqué díautre que le
bruit, il se lève, jette un coup díoeil puis se rendort.
Alban
reprend la clef et essaie à nouveau de lire la gravure. Au bout
díun moment je reprends mes exercices.
Le
professeur se réveille, Romain lui montre ses boules de Noël
et ses guirlandes.
Le
maître hurle:
-
POURQUOI AS-TU APPORTÉ DES DÉCORATIONS DE NOËL?
Je níai jamais dit díen amener!
-
Monsieur Martin nous en avait demandé.
Le
ronfleur se dirige vers le fond de la classe, síasseoit sur son lit puis
síallonge.
D
D D R R R I I I I N N N N G
Cíest
déjà líheure de la récréation.
La
conversation
Nous
sommes en classe, le remplaçant dort, nous travaillons comme díhabitude.
Trente minutes passent, le ronfleur se réveille, nous corrigeons
les problèmes de maths. Le dormeur commence une nouvelle sieste
mais avant de se coucher il nous redonne des exercices de français.
En
orthographe quand le maître écrit la consigne il oublie les
" S ", les majuscules et les points et quelques fois il oublie même
díécrire la consigne! Il fait plein de fautes, en multiplication
il oublie les retenues, on a été surpris quand on a vu quíil
ne connaît pas ses tables...
Il
nous dit: " Lisez. "
Le
dormeur va se coucher en grognant. Romain joue avec ses stylos, líhorloge
fait " tic- tac, tic-tac ... ", la règle de Julien tombe, Amélie
envoie un papier à David mais Laurène líattrape et le met
dans la poubelle. Mathieu joue avec sa bouteille " glouglou ", Benjamin
déchire líexposé de Romain, Guillaume donne un coup de pied
à Yann qui crie " AÏE!!! " Le maître nía rien entendu
parce quíil dort profondément. Alban chuchote " Chut! le maître
va se réveiller. " A cet instant, tout le monde se tait, il níy
a plus un bruit dans la classe sauf líhorloge qui continue " tic- tac,
tic-tac ... "
Vingt
minutes passent, je regarde Alban qui níarrive pas à lire un mot,
il observe le chat blanc qui est sur le rebord de la fenêtre, on
dirait que le chat veut lui parler.
Soudain
le maître se réveille, à moitié endormi il voit
quíAlban regarde le chat. Il jette une trousse par la fenêtre, il
arrache les pages de son dictionnaire, il déchire un dessin, il
prend le cartable díAlban et il le lance sur un élève.
"
Va dans le couloir et vite! "
Alban
est dans le couloir, la porte síouvre : cíest la directrice. Alban se cache
sous les manteaux. La directrice est très gentille, elle est très
grande car elle mange beaucoup de soupe. Elle síappelle madame Dubois,
son prénom cíest Béatrice. Elle est très bavarde et
níaime pas corriger les cahiers plein de fautes, elle dessine très
bien.
Elle
toque à la porte de la classe , le maître lui ouvre:
"
- Vous avez vu le chat qui est sans arrêt dans les toilettes?
-
Oui je líai vu, répond-il.
-
Il níarrête pas de rôder dans ces maudites toilettes! "
La
directrice síen va, la porte claque. Le maître dit:
-
Tu peux venir en classe maintenant. "
Alban
entre en classe, à peine arrivé la cloche sonne, nous allons
en récréation.
Alban
va síasseoir sur un banc, il met sa main dans sa poche et prend sa clef,
il la regarde.
Alban
se lève et rejoint ses copains pour un match de foot. Il dit:
-
Mes copains et moi on gagne 3-0î
mais
après les autres sont revenus à 3-2.
Le
match síest arrêté, nous avons gagné 3 à 2 et
nous allons jouer à chat.
La
porte magique
On
joue à chat et on va continuer le bonhomme de neige. Jíai envie
díaller aux toilettes pour boire, Alban me dit: " Va voir, y a quelque
chose de bizarre au fond des toilettes. "
Je
vais voir ce qui se passe puis je reviens et dis:
-
Mais tu deviens fou, il níy a rien dans les toilettes!!!
-
Mais je ne suis pas fou, jíai vu une porte et dessus il y a un panneau.
-
Quíest-ce quíil y a écrit sur ce panneau?
-
Viens voir.
Et
nous allons voir.
On
va tous aux toilettes.
Comme
Alban a la clef , il voit une porte avec écrit " Père Noël
". Les autres ne voient quíune vulgaire bosse síils níont pas la clef.
Bruno
tire sur la poignée mais elle ne síouvre pas.
-
Il faut peut-être une formule magique , síexclame Stéphanie.
-
Il y a peut-être un monstre, proteste Yann
-
Tu regardes trop les films díhorreur, répond Alban.
-
Je reviens à ce quía dit Stéphanie, essayons de trouver une
formule mais laquelle?
-
Moi jíai envie de continuer le chat, dit Benjamin.
-
Arrête de penser quíà ça, jouer à chat ce níest
pas le moment, pour líinstant il faut trouver une formule, allez, jíessaie,
Sésame ouvre-toi... mais ça ne síouvre point, je ne comprends
pas.
-
A quoi sert la clef, propose Bruno.
-
Je ne sais pas, répond Alban, à rien, juste à voir
la porte.
SSSSCCCCHHHHRRRRRUUUUIIII
-
Oh, regardez ce quía fait le chat ... la porte síouvre.
La
sonnette sonne, on doit rentrer mais Alban ne se remet pas de ses émotions
et Stéphanie est obligée de le tirer, il ne veut pas sortir
des toilettes.
-
Allez, viens, on va se faire disputer, en plus il dort au fond de la classe,
il est méchant et toi tu vas en mettre une couche. Viens, allez.
-
Non, allez viens, tu vas voir.
-
Bon díaccord, on y va.
La
bagarre infernale
Il
y a un escalier, un toboggan et des rails. Je me demande pourquoi il y
a des rails. Ils sont tout rouillés, ils níont pas servi depuis
longtemps.
Nous
prenons le toboggan, à la fin il y a des pierres, on síest fait
mal aux fesses.
On
marche dans ...
-
ZUT, jíai oublié de fermer la porte, síexclame Alban.
-
Cíest pas grave si tu as oublié de fermer la porte, on continue,
proteste Stéphanie.
Le
couloir est très large, long et haut, il est sombre et froid, il
níy a quíune seule lampe. Nous níavons pas peur parce que nous avons la
clef magique, le chat, nous avons vu le panneau de líatelier du Père
Noël , nous sommes un clan de judokas.
Nous
marchons dans le couloir depuis dix minutes. Nous ne voyons pas très
bien parce quíil fait très sombre. Quand soudain, nous entendons
des pas qui courent derrière nous et un gros BOUM! une grosse
voix grogneuse résonne entre les murs et dit:
"
MAIS Où SONT MES LUNETTES ? ! ! "
Nous
courons sans nous arrêter parce que nous reconnaissons la voix du
remplaçant.
Alban
crie:
"
- Arrêtez-vous les amis!!! Je vois une petite lumière sous
la porte là.
-
Allons voir , dit Bruno.
-
Excellente idée, síexclame Tony.
-
Arrête de me tirer, proteste Alban.
-
Cíest pas moi, hurle Bruno, C ë EST LE MAÎTRE !!!
-
Vite, courons vers la porte et ouvrons-la... AIE!! ! "
Le
dormeur attrape Alban et le jette au sol. Il donne des coups de pieds et
des claques à Alban.
Alban
en profite pour attaquer le ronfleur par derrière et un bruit résonne
un peu. PAF ! Stéphanie entend la montre de Tony qui sonne bip bip
bip...
OUILLE!
OUILLE! Ça fait mal dit le professeur.
AÏE!
AÏE! disent Alban et ses camarades.
Les
camarades díAlban ont une idée.
-
On va jeter le maître par terre. A la une, à la deux et à
la trois.
PAF,
líinstituteur tombe par terre.
Victoire
pour Alban et ses camarades.
AÏE!
OUILLE! hurle líenseignant.
-
On prend ses lacets et on líattache.
La
surprise des enfants
-Enfin
la bagarre est finie, síexclame Alban.
On
voit une porte, nous nous précipitons, je líouvre, HHHIIIII, mince
ça fait du bruit, on entend MMMMMMM!
Alban
demande:
-Mais
cíest qui?
Que
vois-je? le Père Noël attaché et enchaîné
à une colonne, quand il nous voit, il est joyeux car il en a assez
de rester coincé et de ne pas dormir.
Nous
le libérons, il nous remercie.
Le
chat blanc vient se frotter contre le Père Noël.
-
Pourquoi se frotte-il sur le Père Noël, demande Alban.
-
Mais cíest mon chat, répond le Père Noël, oh mon minou
de neige aux cornes de bois.
Le
Père Noël lui donne du pâté pour chat.
Ensuite,
il nous dit:
-
Je ne sais pas comment vous remercier, ah si, je sais ... je vais vous
donner des cadeaux en plus du jour de Noël.
Un
par un, il nous donne un cadeau pour nous remercier díavoir ramené
son chat et de líavoir libéré. Et il nous propose de boire
du thé.
Nous
avons refusé líoffre car nous détestons le thé.
Épilogue
Nous
quittons le couloir, nous refermons la porte, elle grince CRRRRR! Je sors
avec mes copains soudain... Alban síarrête.
-
Mais quíest-ce quíil y a? je demande.
-
La police... dit Alban avec une voix tremblante.
La
directrice aperçoit le bout de la queue du chat, elle síapproche,
elle pousse un cri de joie puis elle dit:
-
Que faisiez-vous dans les toilettes?
Nous
devenons sages comme des images. La porte recommence ses grincements CCCCRRRRR!
Comme Alban a sorti sa clé, la directrice découvre la porte,
elle síexclame:
-
Un fan ... fan...
-
Un fantôme, continue un policier.
Le
Père Noël surgit.
-
Cíest vous qui avez donné tous ces cadeaux? demande la directrice.
-
Oui, répond le Père Noël
-
Pouvons-nous visiter votre atelier? demande la directrice?
-
Bien sûr mais après Noël, répond le Père
Noël.
-
Pouvez-vous donner un petit cadeau à chaque policier et à
la directrice? rajoute un policier.
-
Oui, bien sûr!
Julien
pleure parce quíil a une blessure, la directrice síapproche de lui. La
porte refait CCRRRR et le remplaçant sort avec un cocar, une bosse
sur le front, ses lunettes tordues.
-
Que faisiez-vous dans líatelier du Père Noël? interroge la
directrice.
-
Je vais tout vous expliquer, répond le maître. Díun seul coup
il arrache sa fausse barbe et tout le monde reconnaît le père
Fouettard.
-
Il dormait même en classe
-
Ah bon? dit la directrice.
-
Oui je cherchais la clef de líatelier la nuit et je me reposais le jour.
-Il
mía puni parce que je regardais le chat, ajoute Alban.
-
Tiens, tiens, dit la directrice.
-
Ben! Cíest le chat du Père Noël, je níaime ni le père
Noël ni son chat, répond le père Fouettard. Moi je níai
jamais de cadeau à Noël. Snif, snif.
Il
se met à pleurer. Le Père Noël interrompt les pleurs
du père Fouettard:
-
Viens travailler avec moi dans mon atelier...
-
JAMAIS!
-
Tu seras récompensé.
-
Díaccord, díaccord.
Chacun des policiers va recevoir un petit cadeau. Il y en a un qui reçoit
un uniforme de policier, Alban a une voiture télécommandée.
La
cloche sonne, je file en classe copier mes devoirs. (Cíest la directrice
qui les a copiés au tableau.)
Nous
sortons de la classe. Soudain que vois-je? Monsieur Martin. Je rentre tout
content à la maison. La clef díAlban est devenue son porte-bonheur.
Le
lendemain matin, sur la UNE du journal:
Le
vieux barbu que líon adore.
Le
père Fouettard
assistant
du père Noël. |
Et
cíest ainsi que le père Fouettard aide le père Noël.
Ce qui est super c'est que nous sommes avec lui en photo sur la UNE du
journal.
Quelques
jours plus tard ce sont les vacances, Noël arrive. SUPER!!! Nos deux
compagnons nous envoient une lettre.
FIN
|